La Compagnie, dirigée par Amélie Chamoux et Laurent Eyraud-Chaume, développe un projet artistique autour du théâtre-récit pour nommer les travers et les espoirs du quotidien. La question du vivre ensemble traverse leur travail de création. Les spectacles “Pistou, récit d’adolescence”, “8h30 rue des écoles”, “L’héritage” et “La coopérative” viennent, chacun à leur manière poser ces questions : Comment faire société ? Que faire du réel avec nos idéaux?
Pour nourrir leurs créations, ils vont à la rencontre de chacun d’entre nous, de ceux qui cherchent, qui tentent, qui interrogent, qui proposent… Et de cette recherche, de ce travail de collectage naissent des spectacles profonds et touchants, joyeux et optimistes.
Le pas de l’oiseau aime multiplier les compagnonnages et a notamment travaillé avec
Pépito Matéo, Nicolas Bonneau, Antoine Chao, Christophe Moyer… La compagnie
développe en parallèle un projet de territoire : festival la Fureur de Dire, programmation dans les villages du Buëch, ateliers de création, parcours théâtre pour la jeunesse. L’équipe du Pas de l’oiseau croit en la force des mots, la puissance de la rencontre, la poésie de la vie en mouvement. Elle s’engage au quotidien pour mettre de l’art dans la vie et de la vie dans son art.
La couverture et les illustrations ont été réalisé par Nelly Bal ( https://pictoligne.fr/ ).


“Le jour se lève encore”, c‘est le récit croisé de trois histoires :
Une famille d’aujourd’hui, éprouvée par une vie trop confinée, qui doute et cherche à faire pousser ses jours d’après,
Un ouvrier en usine électrique au début du XXème siècle qui tente de faire mentir sa destinée de misère,
Un gamin de l’assistance publique, qui se bat toute sa vie contre la fatalité, devient ministre et nationalise l’électricité.
Trois histoires, côtoyant la Grande, qui illustrent à quel point, dans les moments les plus sombres, l’être humain ne cesse de chercher la lumière.
La première édition a été réalisée par Cloé Deléris en 2020. L’édition présentée ici est paru en 2023 sous la marque des Éditions Le Piaf.
La couverture a été créée par Cloé Deléris avec des photographies de Rémi Petit.


Lulu vient de faire sa rentrée en terminale au Lycée Charles Baudelaire. Et elle sent bien que cette année sera parsemée de fleurs qui font du mal. De toute façon, c’est comme ça depuis qu’elle est petite. Elle a l’impression d’être une tige qui pousse au milieu d’un champs de ronces, mais alors une tige de quoi ?
Deux ultimatums : le bac à la fin de l’année, et avant ça, à partir de janvier, l’inscription sur internet pour s’assurer une place en études supérieures. Rien que d’y penser, Lulu, ça lui donne la nausée.
Et quand ses profs et son père lui pressent de choisir sa voie, avant de souffler ses 18 bougies, elle cherche ce qui mettre le plus de saveurs dans sa vie.
Et pendant que ses sens s’éveillent, ses talents se révèlent.